Dame Mbodj, directeur général de la Société de Gestion des Infrastructures publiques dans les Pôles Urbains de Diamniadio et du Lac Rose (SOGIP SA), fait face à des accusations de harcèlement présumé, émanant d’une intervention en direct sur les réseaux sociaux. Ces allégations, relatives à des faits remontant à dix ans, ont été catégoriquement démenties par Mbodj.
Sur sa page Facebook, Mbodj a clarifié qu’il n’a jamais exercé en tant qu’enseignant au CEM Ibrahima Thiaw, contrairement aux affirmations de la plaignante. Il a précisé que sa carrière de professeur d’anglais s’est déroulée exclusivement au Lycée Aline Sitoé Diatta à Oussouye pendant six ans, et au Lycée Limamoulaye de Guédiawaye durant douze ans. « Je n’ai jamais enseigné au CEM Ibrahima Thiaw où cette dame prétend avoir été mon élève », a affirmé Mbodj. Ces détails sont relayés par nos confrères de Kawtef.
Dame Mbodj estime que ces accusations ont pour objectif de ternir sa réputation en mettant en avant des propos jugés dérangeants. Il appelle à rester concentré sur les enjeux liés à la transparence financière et aux poursuites pour enrichissement illicite. « Si les « kulunas » en arrivent à inventer de telles accusations contre moi, cela signifie que ma communication dérange profondément. Restons concentrés sur la reddition des comptes et les actions contre l’enrichissement illicite », a-t-il publié, une information également couverte par le site de Kawtef.
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